Contre-amiral de la flotte française, Jules-Sébastien-César Dumont d'Urville participa à plusieurs expéditions (mer Noire, Malouines…) entre 1819 et 1825. Il publia à son retour divers mémoires scientifiques et une Flore des Malouines (en latin). Nommé capitaine de frégate en 1826, il reçut le commandement de deux corvettes, l'Astrolabe et la Zélée, avec mission d'explorer l'Océanie. Il rassembla une foule de matériaux précieux pour la géographie et la botanique, et fit paraître, sous le titre de Voyage de l'Astrolabe (13 vol. in-8, 1830 et années suivantes), le résultat de ses recherches. En 1837, Il entreprit un nouveau voyage dans les mers australes et poussa vers le pôle antarctique, en affrontant les plus grands périls.
Les deux équipages furent éprouvés par la maladie qui enleva 17 hommes à l’équipage, contraignant Dumont d'Urville à laisser 16 malades à Hobart, capitale de la Tasmanie. Ayant appris dans ce port que les capitaines James Ross et Crozier étaient en route pour le pôle austral, le commandant ne voulut pas laisser cet honneur aux seuls Anglais et se décida à faire une nouvelle tentative vers le Sud. Il découvrit la terre Louis-Philippe et la Terre Adélie. A son retour en France il fut élevé au grade de contre-amiral et reçut la médaille d'or de la Société de Géographie. Il travaillait à la publication de ses Voyages au pôle Sud et dans l'Océanie lorsqu'il périt avec toute sa famille dans la catastrophe ferroviaire de Meudon, le 8 mai 1842. Le Voyage au pôle Sud parut entre 1842 et 1848.
Les deux équipages furent éprouvés par la maladie qui enleva 17 hommes à l’équipage, contraignant Dumont d'Urville à laisser 16 malades à Hobart, capitale de la Tasmanie. Ayant appris dans ce port que les capitaines James Ross et Crozier étaient en route pour le pôle austral, le commandant ne voulut pas laisser cet honneur aux seuls Anglais et se décida à faire une nouvelle tentative vers le Sud. Il découvrit la terre Louis-Philippe et la Terre Adélie. A son retour en France il fut élevé au grade de contre-amiral et reçut la médaille d'or de la Société de Géographie. Il travaillait à la publication de ses Voyages au pôle Sud et dans l'Océanie lorsqu'il périt avec toute sa famille dans la catastrophe ferroviaire de Meudon, le 8 mai 1842. Le Voyage au pôle Sud parut entre 1842 et 1848.
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